Du chamanisme aux plantes totem, la voie de l’herboristerie sacrée

du chamanisme aux plantes totem

Herbaliste poète, chaman, enseignant… Simon Thel est un herbaliste aux mille facettes. Formé en Amazonie, il apprend le lien sacré aux plantes et à la nature. Herbaliste hors du commun, Simon pratique une herboristerie sacrée à la frontière des traditions chamaniques, de la magie de la forêt bretonne et de l’énergie des plantes qui la composent. Lorsque Simon a besoin de conseil, c’est auprès du grand chêne qu’il va le trouver. Passeur de savoir, il enseigne la connexion à soi par l’intermédiaire des plantes, et nous invite à découvrir la voie de l’herboristerie sacrée.

Le chaman reçoit l’enseignement du monde invisible

Simon Thel (@coeur-de-chêne) s’est formé au Pérou où il a appris les pratiques traditionnelles amérindiennes. Il fait l’expérience des pratiques chamaniques : diète, cérémonies, rituels sacrés. Et des plantes qui ouvrent la perception et nous invitent à communiquer avec le monde des esprits.

Au-delà du chamanisme et de ce que nous, occidentaux, projetons de magique et des risques de cette pratique, Simon a appris à se connecter profondément aux plantes et à la nature.

Comme il le dit si bien  » Il faut apprendre le pas de danse, avant de pouvoir danser à son rythme« .

Aujourd’hui, Simon a totalement intégré la communication avec l’invisible et enseigne comment recevoir l’enseignement des plantes. Celles qu’il appelle les plantes maîtresses.

Retrouvez l’interview complète de Simon en vidéo.

Le chaman marche entre deux mondes

Il voit le monde visible et communique avec le monde invisible.

On devient chaman par lignée ou lorsque les accidents de la vie nous ouvrent sur la communication auprès des esprits.

Dans la tradition chamanique, il faut élargir l’état de conscience pour percevoir l’invisible et recevoir les enseignements des esprits (ou de l’énergie de la nature). Pour cela, les peuples racines ont recours à des plantes enthéogènes.

danse rituelle chamanique

Le chaman danse entre les mondes


L’intermédiaire des plantes enthéogènes

On qualifie de plantes enthéogènes, les plantes psychotropes qui induisent un état modifié de conscience.

Les plantes enthéogènes les plus connues sont :

  • le Chanvre (Cannabis sativa) que l’on n’a plus besoin de présenter
  • la Mandragore, plante des sorcières (Mandragora officinarum). Plante toxique et hallucinogène. Elle ne pousse pas en France, mais on peut la rencontrer plus à l’Est, dans les Balkans. Sa racine rappelle la forme d’un homme, avec ses deux jambes entrelacées. La mandragore fait partie de la famille de la pomme de terre : les Solanacées. Une famille qui compte plusieurs plantes toxiques à différents niveaux, comme la Belladone et la Datura.
  • les champignons à Psilocybine. Ils contiennent des hallucinogènes, la psilocybine et de la psilocine. Leurs usages thérapeutiques (et très encadrés) commencent à être redécouverts.
  • le Peyote (Lophophora williamsii) un petit cactus rond qui contient de la mescaline
  • l’Ayahuasca (Banisteriopsis caapi), aux effets très puissants, purgative et hallucinogène, qui peuvent s’avérer dangereux. Elle n’est consommée qu’en présence d’un chaman.

Aucune n’est à consommer sans risques.

Dans les pratiques chamaniques, l’intermédiaire des plantes enthéogènes provoque transe et hallucinations, et prend le rôle de médiateur avec les esprits.


Découvrir la communication avec le vivant

Simon n’encourage pas le recours à ces plantes, qui peuvent être dangereuses.

Il enseigne à ceux qui viennent l’écouter, comment faire la paix à l’intérieur et se mettre dans un état de réception profond.

Avec respect, il nous montre comment contacter le Bouleau, l’Alchémille, la Sauge ou la Rose. Des plantes de chez nous, que nous connaissons, et qui peut être vous suivent depuis longtemps.


C’est ainsi que l’on peut inviter la plante à entrer dans notre temple. On apprend à la découvrir, à la ressentir pleinement avec notre corps et notre cœur. Et c’est ainsi qu’elle peut délivrer son message.

champignons hallucinogènes - psylocybe

Certains champignons ont la propriété d’ouvrir la conscience. Ce sont les champignons à psylocybine


Du chamanisme, Simon a gardé l’enseignement par les plantes

Simon : Les herbalistes ont tous une vision bien particulière de l’herboristerie. Je me suis confronté aux plantes de manière très intuitive et donc pas du tout académique.

En Amazonie, j’ai appris à accompagner avec les plantes au travers des cérémonies et des diètes. Je réalisais les préparations pour les personnes qui venaient chercher notre soutien. J’ai appris des techniques pour être en contact avec les plantes de manière sacrée.

Au Pérou, ils parlent avec les plantes comme ils parlent entre eux. Les abuelos, les abuelas, ce sont aussi les plantes. Elles sont des membres de la tribu.

De retour en France, je me suis formé l‘école lyonnaise des plantes médicinales que tu as fait aussi. J’y ai appris une approche très concrète des plantes qui est venue amplifier ma pratique intuitive et sacrée.

Cela m’a permis d’approfondir ce contact à l’autre, au client qui vient demander de l’aide. Pour pouvoir l‘accompagner sur des plans beaucoup plus pragmatiques que le seul « plan de l’âme ».

Les plantes nous enseignent qui nous sommes

La transmission par les arbres et la sylvothérapie

Installé en Bretagne en tant que praticien en herboristerie, Simon guide ses clients par la sylvothérapie.

Il organise des stages en forêt et marie transmission botanique, pour apprendre à reconnaître les plantes de la forêt et les différentes espèces d’arbres, avec son approche spirituelle et intuitive des plantes.


La sylvothérapie ou bains de forêt

C’est une pratique de connexion à la nature, qui aide à la relaxation et l’amélioration globale du système respiratoire et immunitaire.

Les arbres dégagent des phytocides, des molécules aromatiques aux propriétés antivirales et antimicrobiennes. Lorsque nous marchons en forêt, nous respirons ces phytocides qui nous apaisent et nous soignent.

Même si on ne dispose pas encore de données scientifiques, les bienfaits de la sylvothérapie sont largement observés.


La sylvothérapie apporte à ceux qui la pratiquent

  • diminution de l’anxiété
  • renforcement du système immunitaire
  • amélioration de la pression artérielle
  • sensation de bien-être
  • libération des pensées négatives et du stress


Le premier environnement de Simon, c’est la forêt

Il guide ceux qui le rejoignent, pour ressentir l’énergie des arbres. Et entrer en relation avec eux, avec respect et humilité.

Pour tous ceux qui aiment cueillir les plantes pour préparer leurs remèdes naturels, Simon a élaboré un guide pratique de cueillette sacrée, éthique et responsable, que je vous invite vivement à télécharger sur son site.

Vous y apprendrez comment cueillir avec intention et ritualiser votre pratique.

« Si je te prends la vie, Achillée, c’est pour que tu offres au monde un remède pour mon peuple, c’est pour que tu offres au grand-tout ta médecine. Et pour que les lois de l’alchimie soient respectées. Je donne autant que ce que je prends. Je prends ta vie, je te donne mon amour, je prends un pied, je préserve les autres et je t’offre ma protection en me faisant ton émissaire et en semant tes graines.« 

Simon Thel

Le guide de cueillette : pour une pratique sacrée, éthique et responsable

Comment recevoir l’enseignement des plantes de nos campagnes

Apprendre à communiquer avec les plantes

Simon : Les plantes vont « enseigner » à celui qui les prend. C’est quelque chose qui m’a juste complètement bluffé et que je me suis approprié.

En Amazonie, le postulat, c’est qu’on soigne l’esprit pour soigner le corps.

Ç’a été vraiment un grand tournant dans ma vie quand j’ai commencé à métisser l’approche spirituelle et l’approche physique des plantes.

Simon Thel


Caroline
: Simon raconte qu’il a créé une relation particulière avec le Chêne. C’est lui qui le guide et l’apaise.

Il se connecte à lui par la pensée, le toucher et reçoit sa sagesse et sa force.

C’est en ce sens que les plantes enseignent : elles entrent dans votre vie. Vous les goûtez, les touchez. Et par le domaine subtil des sensations et de la pensée, elles vous apportent un message, qui vous guide à un moment de votre vie.


Comment trouver sa plante totem ?

Certaines plantes se présentent à vous régulièrement. Simon les appelle des plantes alliées.

Parmi-elles, certaines ont un lien particulier avec nous. Ce sont des plantes totem qui vous accompagnent toute une vie.

Leur énergie se connecte à notre essence. Lorsque l’on sait écouter, elle nous indique qui nous sommes profondément.

Grâce à Simon, j’ai fait l’expérience de ressentir ma plante totem : l’Helichryse, celle qui me guide depuis l’enfance.

Une expérience puissante, pour laquelle j’ai été guidée dans la formation en ligne créée par Simon : la formation plantes maîtresses, plantes sacrées.

Hélichryse italienne


Caroline
: La formation Plantes maîtresses, plantes sacrées, est une formation unique en son genre. C’est un métissage de ce que Simon a appris en Amazonie, des pratiques chamaniques et du lien sacré aux plantes. Tout ceci, transposé en Europe avec notre approche pragmatique des plantes, et avec les plantes que l’on connaît.

Après cette formation, vous saurez :

  • Plonger au cœur de vous-même en écoutant le message des plantes
  • Trouver votre plante totem et développer votre relation à elle
  • Préparer des remèdes naturels avec une intention rituelle
  • Développer votre intuition
  • Mobiliser l’énergétique des plantes pour accompagner vos proches ou vos clients et enrichir votre pratique
La formation plantes maitresses, plantes sacrées par Simon Thel

La formation plantes maitresses, plantes sacrées par Simon Thel


Lorsque Simon a créé sa formation en ligne, et décidé de transmettre sa passion et sa vision unique de l’herboristerie, il a intégré pleinement une autre dimension de sa pratique : l’herbaliste entrepreneur.

Dans la seconde partie de cette interview, Simon partage son parcours d’entrepreneur. Comment il a fini par réconcilier le besoin d’argent avec une pratique éthique et vertueuse de l’entreprise.

Ecoute cet article en podcast

Du chaman poète à l’herbaliste entrepreneur

Moins d’un SMIC pour vivre

Simon : A la sortie de l’école des plantes, j’ai commencé à travailler seul et à accompagner des gens. Ça, c’était vraiment top. Et pendant longtemps, ça m’a suffi. Même si ce n’était financièrement pas suffisant pour en vivre. Comme on l’entend aujourd’hui. J’étais bien en dessous du SMIC. Je me suffisais de 600 € à 800 € de temps en temps avec des compléments [des petits boulots] à droite à gauche. Et puis, la nécessité de faire évoluer ça, à l’époque, n’était pas présente parce que j’étais tout seul, je vivais en colocation. Il n’y a pas de raison de changer de mode de vie quand ça convient.

Caroline : Ce niveau de revenus que tu viens de citer, 600 – 800 €, est fréquent chez les entrepreneurs. Surtout quand on se lance dans l’accompagnement individuel, comme entrepreneur du naturel.

Remplir son agenda avec des patients tous les jours, ce n’est pas facile. Tes revenus font le yoyo, et c’est difficile à vivre.

C’est ce qui fait qu’il y a malheureusement beaucoup d’entrepreneurs qui avaient une vocation, vont laisser tomber.


Des clients qui viennent par le bouche-à-oreille

À l’époque, quand les gens venaient, c’était du bouche-à-oreille et ça me convenait. C’est d’ailleurs pour moi le meilleur des médias de récupération de clients. Parce que souvent, c’est très qualitatif pour les personnes qui viennent. Ils savent qu’ils vont rencontrer quelqu’un qui leur a été conseillé pour de bonnes raisons.

Nous aussi, en tant qu’entrepreneurs, lorsqu’on reçoit un client qui est venu par recommandation, généralement, on a quelqu’un qui convient à ce qu’on propose, et à qui on est, et à notre offre.

C’est vraiment le média le plus qualitatif. Pas quantitatif. On n’a pas beaucoup de monde qui vient.

Même si j’aurais pu me proposer de vivre en yourte et de réduire mes besoins, ce que je voulais au départ. La réalité a fait que j’ai dû devenir entrepreneur. J’aime à dire que quelque part, c’est un petit coup de pouce du destin pour dire « OK, tu veux en vivre ? Tu veux vraiment t’installer là-dedans ? Vas-y, tu n’as plus le choix.«

Simon Thel

trouver des clients sur internet quand on est praticien bien-être

Être visible sur internet, c’est choisir d’aider plus de clients



Le marketing incompatible avec l’éthique ?

Simon : J’étais en très grosse rupture avec tous les codes de notre société, avec toutes les réalités de notre société. Ce fut dur pour moi d’en venir à ça, de venir à me dire « Oui, effectivement, j’ai besoin de vivre de ma passion. » Pendant longtemps, je ne me suis pas autorisé à le faire.


Caroline
: Quand tu fais le choix d’être visible pour toucher plus de monde, tu dois effectivement faire passer ton message.

Et avant de faire passer ton message, il faut avoir bien conscience de ce que tu veux faire et quelle est ta vision, justement, de l’herboristerie, ce que tu veux apporter.

Et c’est un parcours qui va conduire à aller très loin en profondeur. C’est comme ça que je le pratique et que j’accompagne les entrepreneurs sur cette voie. Il faut plonger à l’intérieur de soi pour trouver quelque chose de différent.

Parce que sinon, tu vas faire quoi ? Tu vas dire « Bonjour, je m’appelle Simon Thel, praticien en herboristerie. Salut, j’ai des créneaux disponibles. » Et ça, ça risque de ne pas beaucoup marcher.


Simon
: Si j’ai réussi à faire autrement, c’est parce que Caroline m’a accompagné.

Avant, je faisais exactement ça : « Bonjour, je m’appelle Simon et je fais des accompagnements ».


L’herbaliste entrepreneur peut-il se passer d’être visible sur Internet ?

Simon : Tu disais tout à l’heure que pour toi, le développement digital est essentiel et moi, je suis d’accord avec ce point de vue. On peut décider d’être en rupture avec cet outil, mais ça implique que du coup, on change de mode de vie.

Et c’est tout à fait entendable et c’est ce que je visais au départ.

Choisir de ne pas être visible, c’est faire un choix complet de mode de vie.

Pour développer mon activité professionnelle, j’ai dû me poser des questions importantes :

  • Si je réduis la voilure, est-ce que je peux adapter mes besoins à ce que je gagne ?
  • Suis-je capable de me sortir complètement de ce « système » ?
  • Ai-je plutôt envie de défendre mon point de vue ? D’aller transmettre ce qui m’habite, ce qui me passionne dans les plantes ?
  • Comment élargir le public que je touche ? Est-ce que j’ai envie de transmettre et d’aider le plus grand-nombre ?

Quel est le pouvoir de l'intuition ?

Trouver en soi ce qui nous rend unique

Simon : L’accompagnement que tu m’as proposé, a été une très grosse plongée en moi-même. Et pourtant, j’ai l’habitude de plonger en moi-même ! Parce que la diète, c’est ça. Pour moi, les plantes, c’est ça. Puisque le rapport aux plantes nous pousse à nous connaître profondément.

J’avais déjà de la bouteille et de l’entraînement, mais c’était force 1000.

Je me suis trouvé en face de mes rêves et de la nécessité de leur donner corps.

Quand je me suis mis à avoir mon site Internet, j’ai eu des gens qui sont venus par curiosité et j’ai dû faire tout un travail pour leur présenter, leur faire comprendre ce que je faisais. C’était complètement autre chose. Ce fut une nouvelle voie de compréhension de mon offre, de qui je suis.

Simon Thel


Apprendre à gagner de l’argent

C’était dur pour moi.

J’ai dû apprendre à faire la paix avec ça. À aller rencontrer aussi ce qui chez moi est blessé et refuse cette partie.

Je pensais « le business, ça veut dire le marketing, ça veut dire se vendre, ça veut dire faire de la pub, ça veut dire gagner de l’argent, ça veut dire tout ça. »

Simon Thel

 

C’est là que ton accompagnement a été vraiment magnifique pour moi.

« J’ai compris que si tu t’écoutes vraiment, et que tu fais passer ton rêve en premier, il faut que tu mettes le marketing au service de ton rêve.

Pour que ton rêve puisse être puissant, être vrai. »

Simon Thel


Avec ce que tu défends, avec cette notion de marketing véritable, authentique.


Qu’est-ce que mon approche du marketing authentique apporte à un herbaliste ?

Impliquer ma communauté pour construire une offre unique

Simon : On va comprendre les ficelles et savoir les mettre en place en restant soi-même. On s’écoute et on est en droit de dire « Non, il y a telle ficelle qui ne me convient pas, je ne la mets pas en place. »

Ou alors « Je comprends pourquoi il faut la mettre en place et je ne vais pas tromper les gens. Je vais leur dire que oui, j’applique cette ficelle-là, mais parce qu’en fait, il y a un besoin, c’est une nécessité. »

Par exemple, je me suis mis à faire des produits gratuits où les gens ensuite me donnent leur adresse mail.

Au départ, je ne voulais vraiment pas faire ça, puisque je n’aimais pas ça.

Mais en fait, c’est gagnant-gagnant. Et puis je suis honnête là-dessus.

Je leur dis : » Mais en fait, c’est parce que j’ai un besoin. J’ai un besoin de pouvoir être visible pour qu’ensuite, je puisse proposer un produit de qualité ».

Développer sa communauté sur les réseaux sociaux

Développer sa communauté sur les réseaux sociaux


Recevoir aujourd’hui pour donner plus demain

Simon : Aujourd’hui, la première formation que j’ai lancée, je l’ai fait avec ce que j’ai. Et le deal avec les gens qui sont dans cette formation-là, c’est vous me soutenez, vous êtes les premiers à être là, vous me donnez la capacité de le faire, vous me donnez l’argent pour le faire.

Je vais vous donner mon meilleur et ce ne sera jamais suffisant vis-à-vis de ce que je veux. J’aurais envie de vous proposer quelque chose qui est déjà ficelé, qui est parfait, pas cher, etc.

Mais tout ça, ce ne sera possible que dans le temps, en co-construction.

C’est vraiment ce que ça m’a permis de toucher, ton accompagnement.

Le passage au format en ligne, a été quelque chose de très douloureux pour moi.

Et en même temps, aujourd’hui, je ne regrette pas. Je me suis mis en accord avec ça sans faire de compromis avec mes valeurs. A terme, cela va me permettre de proposer quelque chose qui est accessible à beaucoup de gens.


Caroline
: si tu as réellement envie de vivre de ta passion, à un moment donné, il faut accepter d’adopter certains codes et de passer aussi sur le monde digital.

Adopter les leviers d’Internet, que ce soit un site ou les réseaux sociaux, parce que c’est comme ça que tu vas démultiplier ton impact et tes clients.

C’est ce que j’appelle « entrer dans son pouvoir« . C’est-à-dire, que tu acceptes de te soumettre à ton rêve, à ce qui t’anime et que tu vas y aller coûte que coûte.

Ta vision, c’est plus fort que tes peurs et plus fort que ton appréhension du marketing. Plus fort que ton dégoût de certaines choses, parce que tu vas le faire avec une intention véritable.

Finalement, adopter un marketing authentique te permet de mettre une espèce de machine au service de ce que tu as vraiment dans le cœur, et que tu veux transmettre.

C’est tout ce qu’on te souhaite !

Caroline


Si tu ne sais plus comment développer ton activité, pour dégager plus de revenus et pouvoir transmettre ce qui t’anime, réserve un appel de connexion gratuit avec moi.

Retrouvez Simon Thel, sur son site coeur-de-chêne

Images : Unsplash, Simon Thel et mesrecettesnaturelles

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